Conquering low earth orbit
The world of satellites features two major technologies: the first consists of geostationary satellites that we all use indirectly when we watch television, browse the internet, or make telephone calls. These are located at an altitude of 36,000 km and are very costly devices, with an overall cost ranging between 350 and 450 million euros (satellite, launch, insurance, and operational maintenance).
The second emerging category involves lighter satellites positioned in low earth orbit, that is, between the atmosphere and the Van Allen belt at 2000 km from Earth. These satellites enable the connection of devices in areas of the globe that are difficult to cover through terrestrial telecommunications networks.
The introduction of nano-satellites a decade ago, with a mass of less than 10kg, represents a true technological breakthrough and a decisive advance for space-based IoT. Their reduced weight lowers the cost of deployment to orbit (on average between 500,000 and 1.5 million euros, including launch), making the technology more accessible. Additionally, these shorter distances decrease radio attenuation and reduce the energy consumption of the connected devices. It is precisely this category of satellites that is currently used for IoT needs. Several players are developing constellations of nano-satellites to provide IoT connectivity, notably the French project Kinéis, launched in 2018, aiming to send 25 nano-satellites into orbit at 650 km from Earth, in addition to the 7 already functional Argos satellites.
Spatial IoT: New Uses in Combination with Terrestrial Networks
Un tiers de la surface du globe est aujourd’hui couvert par les réseaux terrestres (5/4/3/2G, LPWAN, etc.). L’IoT Spatial permettra aux entreprises et aux populations situées dans les zones difficiles d’accès de bénéficier elles aussi d’un réseau IoT.
Les 2 technologies sont parfaitement complémentaires lorsqu’il s’agit de collecter les données provenant des objets-connectés, mais elles ne sont pas parfaitement équivalentes. Avec l’IoT satellitaire, il est en effet aujourd’hui compliqué d’envoyer des informations vers les objets-connectés.
La démocratisation des nano-satellites et la baisse des coûts qu’elle a entrainé, engendrent de nouveaux usages. L’IoT spatial vient ainsi répondre à des besoins de tracking ou encore d’amélioration de la chaîne logistique sur des zones jusque-là non traitées par les réseaux terrestres comme les océans, l’air ou des régions non-couvertes par les réseaux terrestres.
De plus, les réseaux satellitaires paraissent bien adaptés pour répondre aux besoins critiques de traçabilité des industriels dans des environnements parfois difficiles d’accès.
Les entreprises, tous secteurs confondus, pourront ainsi bénéficier d’offres IoT alliant réseaux terrestres et réseaux satellites pour répondre à l’ensemble de leurs besoins avec des performances optimales quelle que soit leur localisation.